Nous ne vous demandons pas de signer un chèque en blanc de 35 milliards d'euros. C'est pour cela que ce n'est pas une grande illusion !
La justification des crédits demandés éclaire chacun des objectifs visés par ces investissements sans pour autant s'enfermer dans la définition a priori de projets trop précis. En pratique, cette tâche sera dévolue à chacun des opérateurs dont c'est le métier, la vocation, l'expertise.
Il reviendra donc à ces opérateurs, pilotés par le commissaire à l'investissement et en liaison avec les ministères concernés – qui pourrait penser le contraire ? – de préciser les choix d'investissements, dans le respect des enveloppes et du cadre décidés.