Je vais immédiatement m'engouffrer dans les pistes que vous me proposez, monsieur le secrétaire d'État. Comme vous l'avez dit, les sommes en jeu sont considérables, mais je tiens à revenir sur une contrevérité : la reconquête commence seulement, car rien n'a été fait concrètement depuis trente ans, hormis quelques vagues réunions. Les choses commencent donc maintenant et nous souhaitons ne pas pouvoir dire, dans vingt ans : cela fait cinquante ans que rien n'est fait. Je vais interpeller les services de l'État pour que nous puissions sortir par le haut de cette triste situation.