Nous allons essayer de nous en tenir à la répartition actuelle de 60 % de crédits non consomptibles et 40 % de crédits consomptibles.
Dans le rapport que nous ferons l'an prochain, le point sera fait sur la pertinence de cette répartition.
À ce jour, si nous n'avons procédé qu'à très peu d'entretiens, nous avons été assaillis d'appels et de nombreux projets nous ont été adressés. Cependant, comme nous ne sommes pas encore rentrés dans une démarche d'examen systématique, je n'ai pas d'opinion sur la répartition. Toutefois, nous l'analysons comme un élément contraignant. Et si nous constatons que nous ne pouvons pas la respecter – aujourd'hui, elle nous semble grosso modo pouvoir l'être –, nous le signalerons.