Monsieur le commissaire général, vous comprenez bien que beaucoup des questions portent sur votre rôle, l'organisation du Commissariat général et la valeur ajoutée qu'il pourra apporter au regard de structures existantes. Pour le pilotage du plan de relance, un ministère a été créé. Pour celui du grand emprunt, on a mis en place un commissariat général, pourvu d'une structure propre. Cela signifie-t-il que, par le passé, l'État ne savait pas décider et gérer avec sagacité ses investissements ? L'organisme que vous aller diriger constitue-t-il une couche supplémentaire d'un millefeuille administratif préexistant ? Quelles que soient nos divergences ou convergences sur le grand emprunt, nous pensons qu'une gouvernance efficace de l'utilisation des crédits levés est essentielle.