Cette tendance s'était amorcée, il est vrai, au milieu des années mille neuf cent quatre-vingt-dix, mais elle s'est aggravée depuis la privatisation. Voilà, monsieur le ministre d'État, ce que nous ne voulons plus voir. Je sais que vous en êtes conscient et que vos services ont consenti des moyens supplémentaires ; mais pour le moment, ceux-ci ne sont pas à la hauteur des enjeux. Puisque l'État est actionnaire de l'entreprise, ses représentants doivent recevoir des consignes afin de peser sur les futures orientations : on peut avoir de beaux réseaux, s'ils ne sont pas entretenus, nos concitoyens n'en auront aucune…