Quelle chance vous avez, monsieur Gallois, de pouvoir parler à M. Trichet ! Pour notre part, nous ne le pouvons plus depuis que le traité de Maastricht a rendu la Banque centrale européenne (BCE) indépendante – c'est un des éléments qui font que je ne regrette pas mon « non » à ce traité, dans le sillage de Philippe Séguin.
S'agissant des avions de transport militaire, chaque pays souhaitant des modifications qu'il estime nécessaires, ce qui entraîne des surcoûts considérables, ne pourrait-on revenir à des productions nationales ?
Vous avez parlé de limiter le bruit des avions à la seule emprise des aéroports. Quand en sera-t-il ainsi ?