Vous avez souligné que le taux de pauvreté des enfants est élevé en France, en dépit d'importantes dépenses sociales et familiales. Comme un certain nombre de collègues, j'ai été surpris que vous ne fassiez pas référence au nombre des familles monoparentales, dont nous mesurons chaque jour l'importance dans nos circonscriptions et qui me paraît un critère important.
Vous jugez par ailleurs que notre politique sociale est trop réparatrice et pas assez incitative. Pouvez-vous développer cette idée ?