Ils n'ont, en effet, rien de systématique.
À propos des études sur le bien-être, je rappelle que, selon le « paradoxe d'Easterlin », passé un certain niveau de revenu, le sentiment du bien-être augmente peu. Ce paradoxe se vérifie aussi bien à l'échelle internationale qu'à l'échelle d'une nation : au-delà d'un certain seuil de développement économique – situé un peu au-dessus de la médiane, vers 60 % –, les écarts sont plus faibles. Cette forme de « satiété » a fait l'objet de nombreuses études de psychologie expérimentale.