Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le vice-président de la commission des affaires économiques, monsieur le rapporteur, après ce que nous venons d'entendre, je voudrais ramener le débat sur le terrain de la réalité, car nous nous sommes vraiment éloignés du texte.
Celui-ci est inspiré par le réalisme.