Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, beaucoup de choses ont déjà été dites sur lesquelles nous sommes d'accord, en particulier s'agissant du constat. Nous ne remonterons pas jusqu'au vieux catalogue qui tend à disparaître, ce qui va d'ailleurs poser un grave problème. En effet, le bottin ayant déjà disparu, comment fera-t-on pour rehausser les chaises et comment feront-ils dans les commissariats de police quand ils auront quelques difficultés face au prévenu ?