L'organisation actuelle des réseaux n'est pas très claire. Il est difficile de savoir exactement qui fait quoi et qui prend les décisions. Deux questions m'apparaissent essentielles : dans quel type de pays l'effort doit-il être prioritaire – dans les pays où la culture et la langue françaises sont traditionnellement présentes, ou dans les pays émergents ? Quels moyens veut-on y consacrer ?