A l'occasion de mes fréquents déplacements en Afrique, je rencontre souvent des familles françaises expatriées qui craignent que la multiplication des enseignants recrutés locaux, au détriment des enseignants français expatriés, ne nuise à la qualité de l'enseignement dans les lycées français, ce qui pose des problèmes aux élèves qui poursuivent leurs études en France. Certes, on ne peut nier la question financière, mais j'estime qu'il faudrait obtenir une sanctuarisation des moyens afin de maintenir le niveau de l'enseignement français à l'étranger. Je trouve très intéressantes les pistes de réflexion retenues dans le rapport d'étape.