Je me permets de suggérer l'audition de personnes qui ont connu le système d'enseignement, et le réseau culturel français à l'étranger, depuis plusieurs années. Aujourd'hui, l'activité de nos institutions s'apparente trop souvent à des démarches « cultureuses ». Il est bon que le français soit la langue de la culture, mais il doit également redevenir la langue des affaires, car les langues sont aujourd'hui en compétition au niveau international.