Vous avez souligné pourtant la nécessité d'être attractif en offrant des rémunérations convenables. J'imagine que les praticiens bénéficient de telles rémunérations, et que l'écart se creuse entre le haut et le bas de l'échelle.
Par ailleurs, le statut des personnels du secteur public semblait tout à l'heure faire difficulté pour vous. Faire sauter ce verrou ne reviendrait-il pas à généraliser la situation que l'on déplore dans le privé ?