Comme nous nous devons d'être attractifs vis-à-vis des praticiens et d'utiliser des techniques moins invasives et douloureuses pour le patient – et donc moins coûteuses pour la sécurité sociale –, nous nous plaçons dans une démarche d'innovation, mais au prix de l'autofinancement. Le traitement des varices, par exemple, suppose trois à quatre jours d'arrêt maladie avec la technique usuelle, un seul avec le laser vasculaire qui pourtant n'est pas reconnu par la sécurité sociale.