Monsieur le ministre, vous avez dit, à propos des relations avec le Rwanda, qu'il ne fallait pas « se replonger dans le passé ». Mais les relations entre la France et l'Allemagne n'ont été rétablies qu'au prix d'un travail de mémoire, qui s'impose toujours, tôt ou tard, dans de telles situations.
Par ailleurs, s'il est confirmé que le prochain sommet Afrique-France se déroulera dans notre pays et non en Égypte, pour quelles raisons fera-t-on exception à la règle de l'alternance ? Dans quel état d'esprit aborderons-nous cette réunion ? Quelles en seront les lignes directrices ? Enfin, quelle sera la place de la diplomatie parlementaire dans cette démarche ?