En 2008, je me suis rendu trois fois en Afghanistan et je me retrouve dans un certain nombre de vos affirmations.
Le recentrage de nos forces dans la vallée de Kapisa et la continuité de notre engagement dans un secteur donné avaient reçu l'aval de notre commission.
La situation de l'Afghanistan est indissociable de celle du Pakistan et même de celle de l'Inde. Les autorités pakistanaises sont-elles loyales et leurs efforts sont-ils suffisants, dans la durée, pour que leur pays ne devienne pas le sanctuaire des talibans ?
Vous avez peu parlé du rôle du service de santé des armées, notamment de son action sanitaire en faveur des populations civiles. Ses moyens sont-ils suffisants pour contribuer à la reconquête des coeurs ?
La fonction d'un représentant spécial est-elle adaptée, qu'il s'agisse des moyens comme de la durée ?