Oui, car c'est prendre le travail pour ce qu'il est : un élément de la vie.
Seuls les bureaux des temps axés sur l'urbanité – la place des piétons, les établissements publics, etc. – et la société, comme en Italie, ont fonctionné. Des concepteurs de bureaux des temps ont mené une vraie réflexion, notamment en matière de crèches parentales, après s'être aperçus de la nécessité d'avoir à proximité des lieux de travail des structures de garde d'enfants. Aujourd'hui, les urbanités travaillent sur la mobilité durable. À Nantes par exemple, les équipements publics, notamment les bibliothèques, et les passages des tramways ont été examinés sous l'angle du trajet domicile-travail.
Quant au flux, l'évolution est rapide du fait du départ des babys boomers et de l'arrivée en masse des jeunes générations.