La plupart des clients de l'AFP dans le monde sont en panne de modèle économique. Le New York Times a frôlé la faillite cet été. Les ventes de la presse écrite déclinent au profit de l'Internet, où nous sommes présents. Les grands groupes nationaux et internationaux se battent pour leur survie. Ils sont eux aussi à la recherche de capitaux pour investir dans leur modernisation. Je doute qu'il y ait là une piste pour l'AFP, qui risque plutôt de se trouver amenée à devoir aider ses clients en abaissant ses tarifs. Le problème est bien l'érosion de la clientèle traditionnelle.