Bien sûr. Aujourd'hui, l'État a déjà trois représentants au conseil d'administration. Mais il ne dispose pas de la majorité. N'ayant pas de capital, l'agence appartient à tout le monde et à personne, là est bien la difficulté. Si l'État, actionnaire unique, en devient le propriétaire de fait, cela rompt un équilibre et change la donne.