Après une gestion quelque peu hasardeuse jusqu'en 1998, l'AFP a entrepris, non sans courage, un certain redressement. Alors que l'article 12 de la loi de 1957 prévoit que l'Agence ne peut afficher de pertes, les dépenses ont progressé de 25 % entre 1998 et 2000. Vous indiquez, monsieur Baube, que l'AFP est présente dans tous les pays du monde et est traduite en six langues. Qu'en est-il de l'organisation des autres agences ? Certaines gagnent de l'argent, ce qui n'est pas un mal en soi. Quelles solutions préconisez-vous ? La dernière partie de votre intervention nous laisse un peu sur notre faim.