, a répondu que
- les associations siégeant dans les comités d'éthique étaient généralement tenues à une obligation de réserve,
- les groupuscules violents restaient minoritaires et que leurs actions étaient motivées par des visées ayant en fait peu de rapports avec la protection des animaux,
- l'expérimentation directe n'avait été prônée que par une seule des associations entendues dans le cadre de l'étude,
- l'AERES devait s'intéresser davantage à l'expérimentation animale, qui constitue un moyen de recherche,
- le comité de pilotage, composé de personnalités scientifiques et de représentants du monde associatif, avait joué un rôle appréciable.