Les bilans sont évidemment utiles pour orienter les politiques. N'y a-t-il pas cependant un risque de déconnexion entre les comptages des « grands obligés » définis par l'article 26 et les efforts des citoyens du même territoire ? Comment mettre en cohérence les approches macro-économique et micro-économique de ces comptages et faire en sorte que les citoyens perçoivent l'intérêt des chiffres publiés pour en tirer des conséquences en termes notamment de modes de consommation, d'isolation des logements ou de modes de mobilité ?