Monsieur le député, soyez honnête et précis : ce ne sont pas les policiers, mais un syndicat de policiers qui a décidé de manifester. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Il est vrai que la proximité des élections professionnelles, que j'ai fixées au mois de janvier, peut encourager une certaine émulation. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
D'autre part, il est vrai – et je le revendique – que le ministère de l'intérieur participe à l'effort national engagé dans le cadre de la révision générale des politiques publiques. Cet effort, qui est certes difficile, mais courageux et indispensable, porte sur 2 632 postes.