Je tiens avant tout à souligner la qualité du travail de notre rapporteure. Pour autant, il est difficile de comprendre que pour une seule raison tenant au champ de la saisine de notre commission, nous ne puissions traiter la question du taux d'usure. Car il s'agit là, peut-être, de l'arme principale : comment accepter des taux de l'ordre de 20 %, alors que les taux à court terme régulièrement pratiqués sur les marchés sont bien inférieurs ? Si l'on ne traite pas cette question, on passe à côté de l'objectif principal du projet de loi, qui constituera au demeurant de toute façon une avancée.