Deuxième point : il faut un engagement global incluant non seulement les technologies mais aussi les modes de vie. Réussir Copenhague, c'est aussi intégrer les questions d'urbanisme – les vraies, non les fausses honteusement évoquées par certains au cours des derniers jours – ; c'est aussi intégrer le développement local, car les aménagements d'aujourd'hui sont les déplacements, donc les pollutions de demain. C'est pourquoi le Nouveau Centre considère qu'aux côtés des États, les collectivités territoriales ont toute leur place dans le processus de Copenhague.
Troisième point : il faut instaurer une gouvernance mondiale dotée de réels pouvoirs, d'où l'Organisation mondiale de l'environnement.
Quatrième et dernier point : comme vous l'avez compris dans mes propos précédents, un effort de solidarité exceptionnel envers les pays pauvres est nécessaire.