Il s'agit de tirer les enseignements de l'expérience du déploiement. On demande en effet au patron du GIP à la fois d'être très présent sur le terrain pour accompagner les expériences, qui ne sont jusqu'à présent que des expériences pilote, et de gérer une structure de plus en plus lourde, avec des engagements financiers et une composante humaine importante. Cela fait beaucoup pour une seule personne. En outre, le spectre des compétences requises est très large, puisqu'il faut à la fois être en contact sur le terrain avec les élus, comprendre leurs enjeux, et assurer une gestion très technique. C'est pourquoi nous avons proposé de dédoubler ces deux fonctions : le président sera au plus proche du terrain et assurera un accompagnement région par région, tandis que le directeur général continuera à « tenir la boutique ».