Nous ne sommes, comme vous l'avez dit, monsieur le ministre, qu'au début d'un processus long et progressif, qui varie considérablement selon l'environnement des sites touchés. Vos services et ceux de la DIACT réservent-ils un traitement spécifique aux sites les plus fragiles ? Ce n'est pas seulement un problème financier, mais également d'ingénierie.