Vous nous parlez de 250 suppressions de postes, monsieur Cazeneuve : distinguez-vous parmi eux les emplois civils des emplois militaires ? S'agissant des emplois militaires, on ne peut parler sur le plan national que de redéploiements et non de licenciements. Je pense que c'est cette approche que nous devons privilégier en tant que parlementaires, même si je comprends qu'un maire puisse légitimement avoir des préoccupations locales. Il en va à peu près de même des employés d'État. Parlez-vous de licenciements secs, ou plutôt de non-renouvellement de postes au fur et à mesure des départs à la retraite ?