Nous sommes inquiets, nous l'avons démontré tout au long des articles. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous souhaitions dès l'article 1er poser la question du STIF. Cela n'ayant pas été accepté, nous nous interrogeons sur sa pérennité, sur ses finances, d'autant plus qu'il aura de fait un rôle à jouer extrêmement important concernant l'exploitation.
Je vous ai interrogé, monsieur le secrétaire d'État, sur le financement de l'exploitation puisque vous nous aviez parlé du financement, à la fois dépenses et recettes, de l'infrastructure. Notre assemblée a besoin d'avoir quelque assurance sur l'avenir du futur grand métro. Si sa réalisation est importante, si nous avons dit ce que nous pensions des prérogatives de la Société du Grand Paris, nous souhaitons in fine avoir une vision à plus long terme. Ainsi, il nous paraîtrait rassurant que la maîtrise d'ouvrage des opérations d'investissements puisse être confiée au STIF. Tel est l'objet de l'amendement n° 255 .
(L'amendement n° 255 , repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
(L'article 12 est adopté.)