Le texte ne précise pas non plus si ces filiales pourraient agir hors du périmètre d'intervention stricto sensu – réseaux de transport du Grand Paris et aménagements qui leur sont liés –, voire hors de l'Île-de-France : la Société du Grand Paris pourrait-elle intervenir dans le Grand Lyon, le Grand Toulouse ou le Grand Marseille ? C'est une vraie question, d'autant que l'on perçoit mal l'intérêt de créer des filiales, si ce n'est un intérêt financier qui assujettirait cet établissement public à la logique du code du commerce.