Sachez, Monsieur le président, que, si vous êtes preneurs, je suis « donneur » !
M. Stasi était membre d'honneur de la LICRA. Quand nous avons commencé à travailler ensemble, personne n'était favorable à une loi. Nous pensions que l'on pourrait parvenir à une solution par la concertation et le dialogue. Puis nous nous sommes aperçus que c'était impossible et une loi nous est finalement apparue comme le seul moyen de nous en sortir, et nous avons eu raison. Cela dit, il est dommage qu'un certain nombre des propositions de cette commission n'aient pas été appliquées.
En tant que président du Haut comité à l'intégration, j'ai, en effet, eu quelques craintes concernant votre mission.