Ce financement permettra aux autres acteurs, y compris au STIF, de se concentrer sur leurs compétences. Je souhaite que demain, quel que soit son président, le STIF, dégagé des problèmes désormais pris en charge par l'État dans le cadre du Grand Paris, puisse mieux se consacrer à ce que nous attendons depuis des lustres dans certains territoires tels que la Seine-et-Marne, à savoir de nouveaux trains et des équipements renforcés. Nous peinons à les voir venir parce que ce syndicat est un outil de financements croisés qui ne parvient pas à faire avancer les choses.