Si nous partageons tous le constat de l'urgence écologique, nous ne sommes en revanche pas d'accord sur les moyens d'y remédier : l'incantation ou les propositions ? Considère-t-on que la « main invisible » du marché contribuera à régler les problèmes qui se posent ou se donne-t-on les moyens de mettre en place l'indispensable économie organisée que j'appelle de mes voeux ?
Ce texte mériterait bien sûr d'être prolongé, notamment en matière de fiscalité, mais il a le grand mérite d'établir un cadre, de dresser une perspective pour nous mener vers ce qui ne vient pas tout seul – bref, de nous faire évoluer vers le projet de société de demain.