Face à cet enfer pavé de bonnes intentions et à ces prétendus pavés dans la mare, j'aurais pu, comme je l'ai fait il y a deux jours devant vos collègues sénateurs, vous conter une fable : celle de cet ours qui, ami d'un ami des jardins, trouva bon, pour protéger ce dernier des mouches, de lui lancer un pavé, désormais appelé pavé de l'ours.
Je vous laisse le soin de méditer cette fable de La Fontaine. Je crois, en tout cas, avoir répondu à vos fausses bonnes raisons par des arguments d'un autre poids et d'une autre portée. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)