Je veux dire à Mme Martinez mon admiration pour son travail qui constituera un document de référence. Je regrette cependant que la part de la coopération décentralisée dans l'aide au développement ne fasse pas l'objet d'une étude plus approfondie. Je rappelle, par exemple, que la loi Oudin-Santini permet aux collectivités locales de consacrer une partie de leur budget en matière d'eau à des opérations de coopération, dans ce domaine, dans les pays en voie de développement. Le rôle des communes, au travers d'une aide souvent très ciblée et reposant notamment sur l'engagement des jeunes qui y trouvent une forme bienvenue de reconnaissance, est insuffisamment mis en valeur.