Croyez bien, madame la présidente, que, suivant vos conseils, je ne mettrai personne en cause. Je m'autoriserai cependant trois remarques.
Après les accusations portées hier par Jean-François Copé et celles de M. Herbillon aujourd'hui, il me paraît indispensable de rappeler que nous jouons ici notre rôle de parlementaires. Si, aujourd'hui, une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de France Télévisions, ce n'est pas de notre fait : c'est le Gouvernement qui en a décidé ainsi. Rien ne justifiait que ce texte de loi soit examiné en urgence. Rien ne justifiait que, le 8 janvier 2008, le Président de la République fasse, contre toute attente, sa fameuse déclaration.