Vous êtes une référence sur l'islam et nul mieux que vous pouvait nous apporter des précisions utiles, notamment sur le fait que rien dans le Coran n'oblige à cette pratique.
Une loi pouvant être perçue comme un amalgame entre l'islam et les pratiques religieuses, vous préconisez le « cas par cas ». Or, cela suppose qu'ils ne soient pas trop nombreux. Plus concrètement, quels moyens efficaces permettraient de convaincre, d'empêcher la prolifération de cette pratique non conforme aux usages de la République, au « vivre-ensemble » et à notre mode de vie à tous, inexistante il n'y a pas encore si longtemps ?
Vous semblez évoquer une contrainte. Pouvez-vous confirmer les cas précis d'interdiction ?