a également souligné que la recherche avait vocation à mieux étudier les liens entre l'obésité et les maladies qu'elle favorise, notamment dans le but de trouver des traitements efficaces pour éviter ces pathologies. Elle a alors rapporté les propos du professeur Pierre Rosenzweig qui, lors de l'audition publique du 4 mars dernier, avait estimé que le traitement pharmacologique de l'obésité constituait un besoin médical non satisfait dans la mesure où il existe seulement deux molécules pour traiter l'obésité, contre des dizaines pour traiter des conséquences de cette maladie (hypertension, diabète, etc.).