Je voudrais à mon tour vous interroger sur la situation des AVS. J'entends dire que tous les postes sont occupés, mais ce n'est pas le cas dans ma circonscription, où beaucoup de familles attendent encore, en cette période des vacances de la Toussaint, de bénéficier des services d'un AVS, pour la simple raison qu'on ne trouve pas de personnes suffisamment formées. Il faut reconnaître ces difficultés et la nécessité de pérenniser ce qui est devenu un véritable métier. M. Darcos m'avait assuré l'an passé qu'une réflexion était engagée à ce sujet. Où en sommes-nous ? Sans nécessairement passer par un statut, on pourrait imaginer des garanties, sur le modèle des maîtres auxiliaires, qui ont finalement tous été résorbés.