Ayant naguère étudié de près le parc immobilier du ministère des Affaires étrangères, je me demande ce que sont devenus, à Florence, la villa Finaly et le palais Lenzi, qui abrite le consulat général de France. Même question pour le 3 avenue de Lowendal, hôtel particulier du 7e arrondissement, propriété du ministère des Affaires étrangères, où étaient entreposées des archives qui devaient être déménagées à La Courneuve. À la lumière de ces dossiers en marge du centre de conférences internationales, on se demande si l'État a saisi toute l'importance d'une gestion immobilière active.
L'an dernier, nous avions remarqué que les autorités de régulation recherchaient en priorité des localisations dans le coeur de Paris. Le Conseil de l'immobilier de l'État a-t-il fixé des plafonds de prix au mètre carré ? Il faudrait parvenir à délocaliser l'ensemble des services centraux car il n'y a pas de raison particulière pour que l'administration soit concentrée à l'intérieur du périphérique.