Mon attention a été attirée par l'opération du ministère de la Défense à Balard et son financement. Entre les 600 millions d'euros de travaux initialement prévus et les 100 millions d'euros pendant trente ans, il y a quintuplement.
Que pense le rapporteur spécial, qui semble regretter que le produit des cessions n'ait pas été réemployé, des partenariats public-privé – les PPP– , lesquels paraissent être systématiquement recherchés ?
Est-il en mesure de dresser le bilan de l'action de France Domaine depuis sa création ?
Peut-il expliciter une contradiction apparente entre son appel à la mutualisation de l'ensemble des recettes de cession et, précisément, son regret que l'opération Balard n'ait pas été financée par lesdites cessions ?
Dans le contexte de l'après-Grenelle et du vote de la taxe carbone, il faudra, après l'audit énergétique des bâtiments, faire des travaux. Comment les financer « avec un certain autofinancement constitué par les économies générées », sachant que les secondes ne pourront pas être réalisées avant les premiers ?