Il me semble que c'est également le cas à Strasbourg. En tout cas, généraliser ce type d'approche nous semblerait tout à fait intéressant.
L'idée d'un pôle de la famille, que nous préférerions appeler « pôle des familles », compte tenu des configurations multiples de celles-ci, nous semble également intéressante à creuser. Une telle démarche permettrait de contourner un certain nombre de problèmes. Par contre, elle ne peut pas être la réponse unique aux violences faites aux femmes. Le viol, par exemple, relève du pénal.