L'association nationale des holdings comprend aujourd'hui vingt-trois de ces dernières, et représente une capacité d'investissement de près de 100 millions d'euros dans des PME. Si nous n'adoptons pas cette mesure dérogatoire, toutes ces holdings disparaîtront faute de pouvoir réunir des tickets d'investissement suffisants avec cinquante souscripteurs. Ne pas encourager de telles structures, sachant qu'elles seraient parfaitement encadrées, ne reviendrait-il pas plutôt à défendre d'autres véhicules d'investissement, tels que les FIP ?