Sans reprendre les arguments développés par Marcel Rogemont et Delphine Batho, je voudrais faire chorus et surenchérir : il faut bien sûr protéger et encadrer cette journée de solidarité.
Il faut éviter que des jours comme le 1er mai – fête du travail, seul jour chômé légalement et reconnu par tous les républicains que nous sommes, quel que soit notre parti – ne puissent faire l'objet d'un jour de travail gratuit, ce qui contreviendrait gravement aux idéaux que nous défendons tous.