Nous ne sommes pas opposés à cet engagement de la France de souscrire à ces 11,06 milliards supplémentaires dont la vocation est d'essayer, autant que faire se peut, soit d'atténuer les effets de la crise sur le plan mondial, soit d'aider certains pays en difficulté. En revanche, il n'est pas acceptable que l'on entende dire que cela n'aura pas de conséquences, y compris sur le plan budgétaire.