Les indicateurs de la branche famille font apparaître un bilan satisfaisant, qu'il s'agisse de l'évolution du nombre de places d'accueil, de l'aide apportée aux familles, ou bien encore des prêts accordés aux assistants maternels pour l'amélioration de l'habitat. L'une de mes préoccupations, partagée par nombre de nos concitoyens, concerne le reste à charge des familles, qui diffère selon le mode d'accueil des enfants. Pour les familles modestes, il revient plus cher de faire garder son enfant par un assistant maternel qu'en crèche, alors même que le recours aux assistants maternels est moins coûteux pour les finances publiques. La réflexion évoluera-t-elle sur ce point ?