Je confirme les dires du président Vitel s'agissant des propos tenus ce matin par le CEMA : les externalisations ne sont pas un dogme et doivent être examinées au cas par cas. J'engage chacun à faire preuve du même état d'esprit.
Outre que le différentiel entre les demandes de départs volontaires et leurs acceptations, s'agissant des personnels militaires, semble beaucoup plus élevé que pour les personnels civils, ces départs sont théoriquement acceptés en fonction des besoins de l'institution. Est-ce bien le cas pour les personnels civils ?
Enfin, qu'en est-il selon vous des reclassements des personnels civils, lesquels, selon le ministre, se passent dans d'assez bonnes conditions ?