Monsieur le haut commissaire, vous avez parlé avec une très grande force de conviction du livret de compétences. Pourriez-vous user de cette force de conviction envers votre collègue de l'éducation nationale ? En effet l'action de l'éducation nationale est centrée sur la transmission des savoirs, et les activités périscolaires disparaissent, du fait de la suppression des moyens autrefois donnés aux associations d'éducation populaire, mais aussi des décisions prises par le ministre – le précédent certes, mais elles demeurent – en particulier la semaine de quatre jours, qui détruit les projets éducatifs globaux mis en place par les communes. Allez-vous, comme tel a été le cas avec les contrats éducatifs locaux, aider les communes dans ce travail périscolaire ?