Vous avez évoqué les programmes d'études amont et les pôles de compétitivité, cruciaux pour les industries critiques, que la France doit conserver. Les sommes nécessaires pour le nucléaire, les systèmes d'armes, les drones, les radars et l'avionique sont de l'ordre d'un milliard. Comment tout cela s'articule-t-il ?